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Personnes dans le PS
L’accueil d’un enfant est un des événements qui marque le plus la vie d’un couple. Les parents qui voient naître un nouveau-né ont besoin d’un minimum de confort et surtout d’être ensemble pour vivre les premiers moments de vie de leur enfant. Les temps ont changé, aujourd’hui les pères assistent à l’accouchement et sont demandeurs de plus de temps en famille, notamment lors des premiers jours. Or, voir son partenaire obligé de quitter la maternité quelques heures après la naissance de son enfant n’est ni réjouissant ni sécurisant pour la nouvelle mère. Le couple a besoin d’être ensemble pour vivre ces premiers jours de leur nouvelle vie. Nombre de familles ne trouvent pas suffisantes les quelques heures de visite par jour auquel a droit le conjoint. Pour les familles qui peuvent s’organiser en conséquence, il serait opportun d’apporter une solution pour qu’elles puissent vivre ces moments ensemble, à la maternité.
À la maternité de Viège, il existe depuis longtemps des chambres familiales, permettant aux parents et à l’enfant de rester ensemble durant les quelques jours qu’ils y passent. La maternité de Viège s’est d’ailleurs vu attribuer le label UNICEF “hôpital ami des bébés”. Dans toutes les maternités des cliniques privées, des chambres familiales sont disponibles, avec un confort optimal. Il est cependant évident que toutes les familles valaisannes n’ont pas les moyens de planifier leur accouchement dans une clinique privée. Le fait qu’il n’existe pas de chambre familiale dans les maternités du secteur public participe à creuser les inégalités entre les couples pouvant s’offrir une clinique privée et l’écrasante majorité qui donne naissance à l’hôpital.
Il est temps d’uniformiser la pratique dans tout le canton et de proposer des conditions optimales pour les familles qui accueillent un nouveau-né.
Conclusion
Les postulants demandent au Conseil d’État d’évaluer la possibilité de créer des chambres familiales dans les maternités du canton, afin d’uniformiser les pratiques et offrir un cadre optimal aux familles accueillant un nouveau-né.
Premier-ère signataire
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Commune de dépôt
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Tu décides toi-même de l’engagement qui te convient le mieux.
Afin de réaliser ses actions et son travail politique, le PS compte surtout sur l’engagement de ses membres. Mais la défense de nos valeurs nécessite aussi des moyens financiers.
Les cotisations des membres sont fixées, différemment, par les partis cantonaux et les sections locales et dépendent de ton revenu imposable. Nous suivons nos propres exigences politiques : celle ou celui qui gagne peu, paie peu, et celle ou celui qui gagne beaucoup, participe davantage aux coûts du parti et de sa politique.
En règle générale, les cotisations annuelles sont de l’ordre de 80 CHF pour les personnes à faible revenu et progressent à quelques centaines de francs pour les personnes à haut revenu.
Ces cotisations sont perçues annuellement.
Bien sûr ! Il n’est absolument pas nécessaire de posséder le passeport suisse pour pouvoir adhérer au PS.
Toute personne vivant en Suisse doit pouvoir participer aux débats politiques.
Tu as différentes possibilités de t’engager. Si tu veux être actif-ve au niveau local, adresse-toi à la section de ta commune de domicile.
C’est aussi le lieu le plus adapté pour t’engager dans une fonction publique ou un service au sein de l’administration (Conseil communal, Commission scolaire, Commission sociale…)
Tu peux également faire valoir ton savoir et ton savoir-faire en exerçant une fonction interne au parti. Le PS recherche toujours des personnes désirant s’engager dans l’organisation du parti (communes, districts, canton, commissions thématiques).
Il suffit de manifester ton intérêt aux responsables de ta section. C’est la section qui désigne les candidat-es du PS pour des fonctions publiques.
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