
Actualités
Recommandations de vote du 30 novembre 2025
Ce que nous défendons
Parti
Le Parti socialiste
Structures et comités du parti
Personnes
Personnes dans le PS
Les technologies d’IA et les algorithmes se sont intégrés profondément dans notre quotidien. Dans un monde idéal, les algorithmes seraient des séquences logiques et mathématiques pures, sans préjugés et justes. En réalité, cependant, les systèmes algorithmiques ne sont ni neutres ni objectifs, car ils reproduisent les schémas de discrimination présents dans la société. L’utilisation d’algorithmes sans garde-fous peut amplifier les inégalités, créer des effets d’échelle et des boucles de rétroaction qui renforcent la discrimination à l’encontre des femmes et de certains groupes.
Les exemples européens montrent les risques associés aux systèmes automatisés non précautionneusement implémentés, pouvant restreindre les droits fondamentaux et l’accès aux services publics. Aux Pays-Bas, des familles ont été sanctionnées injustement pour fraude aux allocations familiales. Un simple soupçon, basé sur les indicateurs de risque biaisés, suffisait aux autorités pour sanctionner des familles pour fraude. La discrimination algorithmique peut également se produire dans le monde du travail, où des stéréotypes de genre influencent l’affichage des offres d’emploi et les décisions de promotion ou de licenciement. Dans le secteur de la santé, le « gender data gap » en est un exemple frappant, où le manque de données sur les femmes et l’utilisation de données masculines comme norme entraînent des décisions biaisées, affectant négativement le diagnostic et le traitement des patientes.
En Suisse, en particulier dans le canton de Vaud, selon l’atlas d’Algorithmwatch les algorithmes sont utilisés par les autorités publiques dans les déclarations d’impôts, les demandes d’aide sociale, la détection de fraudes, et dans l’assistance policière, notamment.
Les obligations des entités publiques pour la protection des droits fondamentaux doivent être particulièrement fines, afin que les administré-e-s soient protégé-e-s partout, notamment là où les algorithmes influencent des décisions importantes. Les administrations doivent rendre l’utilisation des algorithmes transparente pour permettre aux individus de contester les décisions prises.
Afin d’assurer que l’utilisation des algorithmes dans le secteur public soit transparente, éthique et bénéfique pour toutes et tous, le présent postulat demande au Conseil d’Etat de :
Sources :
Premier-ère signataire
Date de dépôt
Canton de dépôt
Commune de dépôt
Le plus simple est de remplir en ligne le formulaire d’adhésion ci-contre.
Tu décides toi-même de l’engagement qui te convient le mieux.
Afin de réaliser ses actions et son travail politique, le PS compte surtout sur l’engagement de ses membres. Mais la défense de nos valeurs nécessite aussi des moyens financiers.
Les cotisations des membres sont fixées, différemment, par les partis cantonaux et les sections locales et dépendent de ton revenu imposable. Nous suivons nos propres exigences politiques : celle ou celui qui gagne peu, paie peu, et celle ou celui qui gagne beaucoup, participe davantage aux coûts du parti et de sa politique.
En règle générale, les cotisations annuelles sont de l’ordre de 80 CHF pour les personnes à faible revenu et progressent à quelques centaines de francs pour les personnes à haut revenu.
Ces cotisations sont perçues annuellement.
Bien sûr ! Il n’est absolument pas nécessaire de posséder le passeport suisse pour pouvoir adhérer au PS.
Toute personne vivant en Suisse doit pouvoir participer aux débats politiques.
Tu as différentes possibilités de t’engager. Si tu veux être actif-ve au niveau local, adresse-toi à la section de ta commune de domicile.
C’est aussi le lieu le plus adapté pour t’engager dans une fonction publique ou un service au sein de l’administration (Conseil communal, Commission scolaire, Commission sociale…)
Tu peux également faire valoir ton savoir et ton savoir-faire en exerçant une fonction interne au parti. Le PS recherche toujours des personnes désirant s’engager dans l’organisation du parti (communes, districts, canton, commissions thématiques).
Il suffit de manifester ton intérêt aux responsables de ta section. C’est la section qui désigne les candidat-es du PS pour des fonctions publiques.
Ta section locale est souvent aussi le point de départ du processus de nomination interne au parti pour les candidatures au gouvernement cantonal (par exemple au Grand Conseil).
Aucune, excepté ta cotisation. Le partage de nos valeurs et de nos convictions est tout de même une condition préalable. Cela ne signifie pas pour autant de partager l’intégralité des positions du PS.
Les membres de la Jeunesse socialiste ont la possibilité d’adhérer gratuitement au PS jusqu’à l’âge de 26 ans. Une demande correspondante peut être envoyée par courriel à [email protected].
Les statuts du PS Suisse interdisent l’adhésion simultanée à plusieurs partis suisses.
Les doubles nationaux peuvent être membres du PS Suisse et d’un parti frère étranger, par exemple du SPD allemand ou du Partito Democratico italien. L’adhésion au PS Suisse est gratuite pour les membres de partis frères, pour autant qu’ils puissent prouver qu’ils versent une cotisation à un parti socialiste dans leur pays d’origine.
Oui, même à l’étranger, tu peux t’impliquer dans la politique en tant que membre du PS Suisse. Si tu es domicilié à l’étranger, tu deviens automatiquement membre du PS International.
Ce que tu peux attendre du PS.
Tu es proche de la politique : nous t’envoyons nos invitations, nos newsletters ainsi que notre magazine “Socialistes”. Tu peux réseauter avec des personnes partageant les mêmes idées que toi.
Tu peux apprendre des autres et apporter tes propres connaissances et compétences à différents niveaux au sein du parti.
Ensemble, créons un avenir meilleur !
Pas de démocratie sans formation. Nous te proposons des webinaires et des séminaires et nous t’offrons la possibilité d’acquérir des connaissances générales et d’échanger sur des thèmes politiques actuels.